“La véritable renonciation“
La véritable renonciation de signifie pas abandonner quelque chose, comme laisser de côté les choses matérielles pour gagner quelque chose de spirituel.
La renonciation signifie ne pas mettre les choses à la première place, ne pas chercher à trouver le bonheur à travers un schéma d'accumulation matérielle. Pour réaliser cela, nous devons être en harmonie avec le mouvement de la vie qui ne se cramponne à rien. La renonciation n'est pas une action volontaire d'abandon de quelque chose, mais libérer notre esprit des motivations ultérieures. Il n'y a rien à abandonner si ce n'est notre besoin de contrôler les choses.
La véritable renonciation est naturelle et facile, la libération de toute tension en s'ouvrant à la bienfaisance naturelle de la vie. C'est la réalisation qu'il n'y a rien à perdre, et que ce qui est véritablement à nous vient naturellement si nous n'obstruons pas le chemin. Essayer de forcer les choses peut sembler efficace mais ce sera artificiel. Cela devra être maintenu avec effort et à la fin reviendra à son état original. Nous sommes toujours attachés à l'idée que nous pouvons contrôler les choses. Nous restons esclaves de cette pensée, et peu importe si ce que nous pensons est positif ou négatif. Tant que nous avons la croyance que nous devons renoncer à quelque chose, nous n'avons renoncé à rien du tout. Pour que la véritable renonciation se produise, le sens de l'action séparée doit être abandonné, incluant l'idée que nous pouvons nous changer nous-mêmes. Nous tentons d'engendrer des gains en prenant des choses ou en les conservant, mais ce propre effort d'acquérir et d'accomplir cause notre perte.
Peu importe à partir de quoi nous nous divisons, pour acquérir ou pour éviter, cela nous limite car nous voulons diviser une réalité qui est unité en des conflits d'opposés. La véritable renonciation n'est pas le rejet ou l'évitement, ce n'est pas essayer d'arrêter quelque chose ou de vivre dans un certain niveau d'austérité. C'est être ouvert à ce qui nous appartiens de façon intrinsèque plutôt que d'essayer de faire que les choses nous appartiennent. Tout vient à nous, quand nous arrêtons de chercher après. C'est comme un homme et son ombre. Toute création est notre ombre qui va nous suivre naturellement si nous n'essayons pas de la suivre.
Il n'y a rien que nous devons abandonner, si ce n'est notre besoin de contrôler les choses.
La renonciation signifie ne pas mettre les choses à la première place, ne pas chercher à trouver le bonheur à travers un schéma d'accumulation matérielle. Pour réaliser cela, nous devons être en harmonie avec le mouvement de la vie qui ne se cramponne à rien. La renonciation n'est pas une action volontaire d'abandon de quelque chose, mais libérer notre esprit des motivations ultérieures. Il n'y a rien à abandonner si ce n'est notre besoin de contrôler les choses.
La véritable renonciation est naturelle et facile, la libération de toute tension en s'ouvrant à la bienfaisance naturelle de la vie. C'est la réalisation qu'il n'y a rien à perdre, et que ce qui est véritablement à nous vient naturellement si nous n'obstruons pas le chemin. Essayer de forcer les choses peut sembler efficace mais ce sera artificiel. Cela devra être maintenu avec effort et à la fin reviendra à son état original. Nous sommes toujours attachés à l'idée que nous pouvons contrôler les choses. Nous restons esclaves de cette pensée, et peu importe si ce que nous pensons est positif ou négatif. Tant que nous avons la croyance que nous devons renoncer à quelque chose, nous n'avons renoncé à rien du tout. Pour que la véritable renonciation se produise, le sens de l'action séparée doit être abandonné, incluant l'idée que nous pouvons nous changer nous-mêmes. Nous tentons d'engendrer des gains en prenant des choses ou en les conservant, mais ce propre effort d'acquérir et d'accomplir cause notre perte.
Peu importe à partir de quoi nous nous divisons, pour acquérir ou pour éviter, cela nous limite car nous voulons diviser une réalité qui est unité en des conflits d'opposés. La véritable renonciation n'est pas le rejet ou l'évitement, ce n'est pas essayer d'arrêter quelque chose ou de vivre dans un certain niveau d'austérité. C'est être ouvert à ce qui nous appartiens de façon intrinsèque plutôt que d'essayer de faire que les choses nous appartiennent. Tout vient à nous, quand nous arrêtons de chercher après. C'est comme un homme et son ombre. Toute création est notre ombre qui va nous suivre naturellement si nous n'essayons pas de la suivre.
Il n'y a rien que nous devons abandonner, si ce n'est notre besoin de contrôler les choses.
Texte de Frawley, David. Vedantic Meditation. North Atlantic Books.